jeudi 13 septembre 2007

ÉMISSION DU 14 SEPTEMBRE 2007


1)SCARLATTI K 176 par SCOTT ROSS.
En ré mineur cantabile andante § allegrissimo

Cette sonate termine le volume I du manuscrit de Parme et de Venise. Ces sonates ont été écrites avant 1752.

Il y a 150 ans paraissaient LES FLEURS DU MAL : « LES FLEURS DU MAL ONT-ELLES MODIFIÉ LES MŒURS DU PHALLE ? » se demandait Marcel Duchamp
2 BAUDELAIRE / DEBUSSY La mort des amants Felicity Lott § G. Johnson

Notre enquête se termine avec cette pièce.
Jacques Drillon dans son très beau livre, Les gisants, a donné de ce poème et de ce morceau une délectable analyse, auprès de laquelle tout que je pourrais dire ne serait qu’insipide bavardage.
Alors, précipitez-vous chez votre libraire et passez commande !
3 Le même par Dawn Upshaw §James Levine.

N’hésitez pas à nous faire connaître votre opinion.

Le syndrome : Je ne connais que ça mais...5) Parfois, on ne parvient pas à identifier dans un film, une publicité un air qui pourtant nous est familier.
L’autre jour ce fut le cas dans L’impasse, film de Brian de Palma, quel était cet air d’opéra ?
J’attends la fin avec impatience mais le diffuseur télévisuel, âpre au gain, écourte le générique final, une habitude, hélas, de plus en plus fréquente.
Bien entendu, je me ridiculise en le fredonnant à des amis mélomanes qui ne savent pas plus, heureusement il y a les moteurs de recherche.
DELIBES LAKME duo des fleurs, viens Mallika. Par Gianna d’Angelo § Jane Barbier Dir. G. Prêtre,méchamment surnommé par les musiciens : Monsieur Rubato.


ET SI l’ON DANSAIT UN PEU


Les musiciens de notre bal seront extraordinaires et russes, même s’ils s’emparent ici de danses venues d’ailleurs même si elles gardent dans l’assaisonnement un petit côté caviar, vodka, champagne qui donne cette légèrement éméchée claudication..
STRAVINSKY Circus polka, Tango, Piano rag music. Nikita MAGALOFF.
Un disque Montaigne, hélas difficilement trouvable
En illustration Les gisants de J.Drillon au Promeneur.
Le document de couverture est une aquarelle originale de Pascale Laurent.

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